Mobilisation 20 janvier 2018

20 Janvier 2018 - Pont Vincent Auriol

Mesdames, Messieurs,
Je vous remercie de votre présence, L’ AILB a besoin de votre soutien pour continuer ses actions.
Maintenant, les programmes de travaux et leur financement se feront dans le cadre du nouvel organisme qu’est le PAPI de la Communauté de Communes-MPM.
Or le PAPI est présidé et géré par le maire de LA LONDE alors que jusqu’à fin 2017, les choix d’aménagement et leur financement étaient décidés au sein du SIPI qui était présidé et géré par le maire du LAVANDOU.
M DE CANSON nous a promis d’intégrer l’AILB dans le COMITE DE PILOTAGE des travaux déjà décidés. ….. ; c’est un organisme d’observation!!

  • Il va falloir être très vigilant pour défendre nos intérêts !

Des travaux importants ont été faits par le SIPI depuis 2014, mais ils ne seront vraiment efficaces que le jour où l’estuaire du Batailler et le pont VINCENT AURIOL seront mis aux bonnes dimensions.

  • Pour l’instant, l’estuaire et le pont Vincent Auriol constituent un véritable bouchon.

Les riverains de la zone industrielle et ceux des habitations qui longent le Batailler restent très exposés aux effets d’une crue centenaire de 93 m3 par seconde et les conséquences seraient encore très importantes lors d’une crue de 160 m3 comme celle de 2014.

Concernant le pont Vincent Auriol, pour bien faire, il faudrait faire un nouveau pont dont la section de passage sous le tablier devrait être de 45 à 50 m² de manière à absorber ce qui vient du Batailler et du canal de la,Vieille lors d’une crue centennale.

  • Mais qu’en est-il exactement ? Où est la transparence ?

Lors de notre dernière réunion avec le SIPI, on nous a déjà dit que les travaux devaient commencer en juillet 2017, puis en décembre 2017.
Si les travaux commencent vraiment en juin 2018 comme il se dit, alors les plans et les dossiers de réalisation du pont sont donc déjà faits.

  • Pourquoi ne sont-ils pas publics ?

A LA LONDE, les LONDAIS disposent des dossiers et des plans des travaux prévus sur 5 ans.

  • Les Borméens et Lavandourains seraient-ils des sous-citoyens?

Pour accroitre la sécurisation des habitants de la plaine de Bormes et du Lavandou de manière significative, L’ AILB a proposé un canal de dérivation qui augmenterait de 30 à 40% la capacité d’absorption et d’évacuation des torrents d’eau vers la mer.
Certes les types de travaux d’aménagements seront toujours décidés par les maires des communes, mais leur programmation dans le temps et les modes de financements dont les subventions seront du ressort du PAPI.

C’EST POURQUOI NOUS AVONS BESOIN DE VOTRE SOUTIEN POUR DÉFENDRE VOS INTÉRÊTS,

  • SANS VOUS, L’AILB N’EST RIEN !